[…]Selon l'usage régulier, accepter que et consentir que (ainsi que consentir à ce que) régissent le subj., mais l'analogie avec admettre leur donne parfois le sens de « reconnaître comme vrai » : Je consens que vous ne SOYEZ pas bête (GIDE,...). [...] - Ils reçoivent même parfois la construction avec l'indic. : Je consens que C'EST une affaire de pure imagination (VALÉRY...). - Un vrai révolutionnaire, il doit accepter qu'il n'EST pas un héros (MARTIN DU G.,..). - Comme dit Hanse, cela est « insolite ».