C'est la construction de la phrase qui est en cause. Il y a là une amphibologie (une ambiguïté due à une maladresse de construction) - La phrase peut être comprise dans les deux sens.
Exemple : chocolat commence par "c" et finit par "f ". (l'amphibologie est ici le résultat d'une ellipse)
Ou:
"Réfléchissons aux symptômes de la maladie que nous venons de décrire"
Il est impossible de savoir - hors contexte - si la proposition relative "que nous venons de décrire" se rapporte aux symptômes ou à la maladie.
La solution est donc de construire la phrase différemment :
- .... de la maladie qui viennent d'être décrits.
- .... de la maladie qui vient d'être décrite.
Je me rends compte que j'ai écrit plus vite que je n'ai pensé !! Mille excuses !!
Dans l'exemple proposé l'ambiguïté n'a existé que dans mon esprit torturé. Mea culpa !! Le verbe arriver se rapporte assez clairement à "l'essentiel des soldats" ... donc arriva à l'heure.
Mais "l'essentiel" ne donne pas l'idée de nombre mais plutôt de qualité -"la plupart"- ma semblerait mieux adapté : La plupart des soldats arrivèrent..
En tant que grande amatrice de chocolat, je me dois de corriger, chocolat commence par un c et finit dans le ventre ... Non, pardon . Par contre je n'ai pas compris pourquoi par un f ? C'est une faute de frappe ???